Sunday 1 December 2013

Amis Bien Aimés de Julos Beaucarne et Elle DORT de Corinne

En tant que concept général, l’amour désigne un sentiment d’affection et d’attirance sentimentale. Nous avons, à notre disposition, deux textes dont le premier titré Amis Bien Aimés est une lettre écrite par Julos Beaucarne et tirée de Mon terroir c’est les galaxies (1975). Le deuxième texte est un poème titré Elle DORT, ce dernier est écrit par Corinne et est tiré de L’adolescence en poésie (1982). Les deux textes mentionnés ont pour thèmes principaux l’amour et le chagrin. Nous allons donc essayer de comprendre comment les auteurs transmettent leurs sentiments aux lecteurs dans chaque texte en analysant tout d’abord le chagrin causé par la mort de la bien-aimée et ensuite l’inclusion du lecteur.

Tout au long des deux textes, les auteurs expriment à la fois leur amour et leur tristesse causés par la mort de leurs bien-aimées. Dans le premier texte, l’auteur nous confirme la mort de sa jeune amoureuse dès la première ligne : « C’est l’histoire de mon petit amour à moi arrêté sur le seuil de ses 33 ans ». Il nous démontre aussi la profondeur de son chagrin lorsqu’il dit : « Je suis maintenant très loin au fond du panier des tristesses» (l.9); en utilisant cette allégorie (panier), l’auteur accentue sa tristesse avec cette expression. De plus, l’auteur nous confirme l’éternité de son amour pour cette femme : « ah comme j’aimerais qu’il y ait un paradis, comme ce serait doux les retrouvailles » (l.10); cette phrase nous prouve qu’il l’aime encore même après sa mort et qu’il va continuer à l’aimer même après son propre décès. En outre, Julos nous montre comment il va continuer à pratiquer les choses qu’il faisait avec elle, ce qui revient encore une fois à l’idée de l’éternité de son amour : « Je resterai sur le pont, je resterai un jardinier, je cultiverai mes plantes de langage.» (l.7). D’ailleurs, les sentiments de l’auteur sont ressentis par le lecteur dès le début du texte jusqu’à sa fin à cause de l’utilisation des champs lexicaux de l’amour : aimer (l.4), cœurs purs (l.5), bienaimée (l.8), amour (l.9), etc.; et du chagrin : triste (l.5), panier des tristesses (l.10).

Dans le deuxième texte abordant des thèmes de poésie élégiaque, l’auteur annonce la mort de sa bien aimée avec le titre Elle DORT ; l’utilisation d’euphémisme adoucit l’idée de la mort et le fait que toutes les lettres de ce dernier sont en majuscule accentue le sentiment transmis. De plus, la répétition de ce même euphémisme plusieurs fois (vers 1, 3, 4, 7, 10, 13, etc.) tout au long du poème soutient l’idée de l’auteur. Corinne exprime aussi son amour pour la fille en démontrant ses qualités et les choses qu’elle aimait à travers l’extrait : « elle était innocente et tendre » (l.16) et « Elle aimait les lilas, le printemps, la vie » (l.17). Le poète utilise aussi une métaphore au onzième vers et compare la fille à une fleure afin de démontrer sa beauté et son innocence: «Ce n’est qu’une fleur». Par ailleurs, l’accompagnement d’un ton triste par le champs lexical du chagrin et du sommeil aide beaucoup Corinne à transmettre sa tristesse et à accentuer l’image de sommeil que l’auteur donne dès le début : pleurez (l.2 et 7), repos (l.9), sommeil (l.14), rêve (l.5), dormir (l.3). E outre, nous pouvons dire que la ponctuation utilisée démontre les émotions de l’auteur ; l’utilisation des points de suspensions donne une certaine continuation ou perpétuation à la mort de la fille et les points d’exclamation accentuent le sentiment et l’idée transmise. Nous pouvons de même remarquer que les points d’interrogation accompagnent des questions rhétoriques adressant le lecteurs : « Elle est jolie, n’est- ce pas ? » (l.6). Nous pouvons alors affirmer que les deux auteurs expriment les mêmes sentiments (amour et chagrin) à travers leurs œuvres mais que chacun utilise une manière différente ; Julos explique la mort avec une annonciation directe mais Corinne atténue cette idée avec des figures de style.

Deuxièmement, nous pouvons aussi clairement remarquer que les deux auteurs adressent le lecteur même si c’est de façons distinctes. Dans le premier texte, Julos envoi sa lettre (l’extrait) au lecteur ; nous comprenons facilement cela du titre Amis Bien Aimés et lorsqu’il dit « mes amis de l’ici-bas » (l.11). De plus, l’auteur utilise le pronom personnel « vous » (l.2 et 4 par exemple) tout au long du texte afin de nous adresser. Nous pouvons de même remarquer que l’écrivain utilise cette lettre, non seulement pour nous transmettre ses émotions, mais aussi afin de nous conseiller afin que nous puissions être heureux et afin que nous puissions nous profiter de l’amour de nos proches le plus possible dans nos vies puisque nous pouvons les perdre à n’importe quel moment:«Sans vous commander, je vous demande d’aimer beaucoup plus que jamais ceux qui vous sont proches » (l.4). Finalement, l’auteur conclus sa lettre avec son message en bref en disant : « je pense de toutes mes forces qu’il faut s’aimer à tort et à travers. ».

Dans Elle DORT, Corinne nous adresse come si la jeune fille de quinze ans était notre bien aimée, il nous dit de ne pas pleurer sur sa mort puisque c’est en fait un repos, elle s’est suicidé puisqu’elle était accablée et que c’est pour son mieux: « Elle est heureuse maintenant elle dort » (l.7) ; « Respectez son sommeil et surtout ne pleurez pas » (l.13). On comprend que c’est une suicide lorsqu’il dit à la treizième ligne: «Détournez vos yeux de ce cou bleu» ; et de suite à la dix-huitième ligne « Mais qu’importe maintenant, elle a choisi ».


Amis Bien Aimés et Elle DORT sont à la fois d’auteur et de type différent mais sont tous utilisés afin de transmettre aux lecteur les émotions d’amour et de chagrin des écrivains. En effet, les deux auteurs nous invitent à aimer beaucoup plus que jamais ceux qui nous sont proches, de les apprécier et de s’avancer dans nos vies après leurs morts qui sont assurément un repos pour eux. Ces deux textes abordent deux thèmes immortels dans la littérature mais de manières plus modernes, beaucoup plus différentes que celles utilisées pendant le courant romantique.

Commentaire Comparatif: l'Automobile

Tout autour du monde, des millions de voitures de marques et de modèles différents sont achetées chaque année. Nous avons, à notre disposition, deux textes dont le premier est un extrait d’un article paru dans Le Sauvage, reproduit avec l’autorisation de Serge Moscovici, un psychologue français ayant contribué à l’essor de la psychologie sociale. Le deuxième texte est un extrait adapté d’une chronique sur l’automobile Aston Martin Vanquish ; cet extrait titré Née pour vaincre  est écrit par Thomas Riaud, juillet 2006. Les deux textes mentionnes ont pour thème principal la voiture ou l’automobile. Nous allons donc essayer de comprendre comment les voitures sont présentées dans chaque texte en analysant tout d’abord la notion de liberté et de plaisir relatives à la vitesse et aux automobiles et ensuite la relation entre la mort et les automobiles.

Dans chaque texte, l’auteur se questionne sur la notion de l’individualité et la liberté relative à la vitesse. Dans le premier extrait, l’écrivain dénonce cette notion et affirme que l’automobile est un lieu d’’emprisonnement en utilisant un ton satirique que nous sentons lorsqu’il utilise une énumération et dit : « Individualité, liberté, rapidité, dit-on» (l.2) ; et lorsqu’il emploie une question rhétorique à la sixième ligne : « Instrument de liberté, la voiture ? Soyons sérieux.» Il déclare que les voitures sont loin d’êtres libérant tout au long du texte spécialement lorsqu’il dit : « Personne ne communique avec personne. Chacun évite les autres, rentre en soi, prisonnier de sa ceinture de sécurité, du votant, des banquettes, des portes, des fenêtres, » (l.2 à 5) Il démontre ainsi comment elles nous enferment et nous emprisonnent, ce qui est l’autonomie du concept de la liberté.

De plus, l’auteur démontre que cette liberté, de laquelle nous sommes convaincue, n’est pas seulement fausse mais aussi surveillé : « La belle liberté que nous avons conquise : une liberté surveillée » (l.14) Il explique que les formes de contrôles policiers nous entourent et nous empêchent d’être vraiment libres en accentuant sa thèse avec une énumération et une exclamation : « Permis de conduire, vignette, code de route, sens obligatoires, interdits de dépasser, de tourner, de stationner, de tourner, n’ont fait que s’accumuler au cours des années. Et les contrôles – contrôle des papiers, barrage de police, contrôle des voitures, alcootest, espionnage du radar – aussi ! » (l.8 à 10)

Contrairement au premier texte, le deuxième soutient cette notion. L’auteur démontre comment l’automobile est une cause de joie, de plaisir et de liberté. Il compare la voiture à un athlète charmant et à une belle femme tout au long du texte : «  un athlète de haut niveau habillé en smoking en quelque sorte… » (l.3) ; « d’une belle anglaise » (l.15) Ce faisant, il démontre à la fois l’aspect performant et séduisant de l’automobile qui lui plait. En ailleurs, il se compare à James Bond pour démontrer son sentiment de pouvoir et d’élégance : « Pas étonnant que James Bond en ait fait sa marque officielle » (l.4) ; « Me voilà désormais, comme l’agent 007 » (l.10) ; « Ma ‘mission’ touche désormais sa fin » (l.14). D’ailleurs, l’auteur démontre  comment il est amusé par la vitesse : « Les montées en régime sont tout simplement ahurissantes, au point de vous coller littéralement au fond des sièges parfaitement enveloppements » (l.9). Nous pouvons alors conclure que les deux textes sont contradictoires sur ces aspects et que chaque auteur a une opinion différente.

Sur le deuxième plan, nous pouvons remarquer que chacun des auteurs traite le thème de la mort dans son texte. Dans le premier texte, l’auteur annonce directement que les voitures sont des instruments de mort lorsqu’il dit : « J’ai bien observé la voiture, de cette place qui est toujours la mienne : la place du mort » (l.1) ; mais dans le deuxième texte, l’auteur affirme que la vitesse conduit à la mort lorsqu’il dit : « Me voilà désormais, comme l’agent 007, en possession d’un permis de tuer… mon permis ! » (l.10)

En conclusion, nous pouvons affirmer que les deux textes se contredisent sur l’interprétation de la notion de la liberté et l’individualité relative à la vitesse et aux automobiles mais que chaque auteur démontre à sa manière personnelle que la rapidité peut conduire à la mort.
                 


Wednesday 20 November 2013

Le racisme au travers des stéréotypes publicitaires


Le racisme est une idéologie fondée sur la croyance qu'il existe une hiérarchie entre les groupes humains, les « races »; ce qui créé une attitude d'hostilité systématique à l'égard de cette catégorie déterminée de personnes. "Le racisme au travers des stéréotypes publicitaires" est un document qui, comme l'indique son nom, présente et explique l'utilisation de concept raciste à travers les époques dans les medias en général et spécialement dans la publicité. Je n'était pas très choquée ou surprise d'avoir vu que la publicité était extrêmement et directement raciste pendant les années 1700-1800 parce que je savais que le racisme avait atteint son plus haut degrés pendant cette période; mais ce qui m'a surpris est le fait qu'il existe encore des publicités raciste aux XXI siècle. Je trouve  ces publicités sont raciste d'une manière indirecte et doivent être bien analysées afin que l'aspect raciste soit bien compris. Je trouve aussi que ces aspects racistes sont faites comme strategie de marketing, c'était la vraie intention du publicitaire) ; par exemple dans le cas de la publicité de Beyoncé, je trouve que le créateur avait juste trop blanchit la chanteuse afin d'attirer l'attention d'une audience plus vaste, une audience de Noirs et de Blancs. 

source: http://pubdecom.fr/wp-content/uploads/2011/08/02-beyonce-loreal-pubdecom.jpg

Friday 4 October 2013

Bel-Ami de Maupassant


source: http://www.propagandes.info/blog/wp-content/uploads/2013/02/Guy-de-Maupassant1.jpg

L'auteur:

Maupassant est né en août 1850 à Fécamp en Normandie ; il était élevé par sa mère, une amie de Flaubert passionnée de littérature. Celle-ci l’encourage et lui sert de guide dans ses lectures. À l’âge de douze ans, il entre au collège religieux d’Yvetot et complète ses études secondaires au lycée de Rouen. Gustave Flaubert, écrivain français, aide Maupassant à devenir auteur en lui conseillant et en l’aidant à rencontrer les grands écrivains de l’époque : Zola, Huysmans, Daudet et les frères Goncourt. Après le succès de Boule-de-Suif (1880, récit publié dans Les Soirées de Médan) et de La Maison Tellier (recueil publié en 1881), Maupassant abandonne son emploi dans un ministère et se dédie complètement à l’écriture. Dès ce moment-là, il publie des recueils de nouvelles, des romans et des articles dans les journaux, sans négliger ses passions (la chasse, le canotage et les femmes). Il voyage aussi en Corse, en Italie et en Afrique du Nord sur son bateau qu’il a nommé « Le Bel-Ami ». Progressivement, Maupassant éprouve un sentiment de malaise et tombe victime d’hallucinations en 1891. A cause de ses tentatives de suicide, il est interné dans la maison de santé du Docteur Blanche ou il meurt en juillet 1893.

Le contexte historique:


Le cadre temporel du roman est le même que celui de l’écrivain ; ce qui veut dire que Maupassant a écrit Bel-Ami dans un contexte historique qu’il connaissait très bien comme il vivait à Paris en 1880. Une dizaine années avant ce contexte, s la guerre Franco Prussienne’est déroulé et en conséquence la France devient une république ( la IIIe république) en 1875. Le roman se déroule en plus ou moins trois ans et est composé deux parties significatives : la première partie où Duroy est très pressé et veut accéder a la fortune rapidement et la deuxième où il comprend qu’il doit prendre son temps.


Les personnages:


Georges Duroy : personnage principal du livre. Il est un bel homme, grand, bien fait, blond, avec une moustache et des yeux bleu clair. Au début, il est comme un jeune homme timide et peu sur de lui. Cependant à cause de sa belle apparence, il plait et séduit à toutes les femmes: jeunes, vieilles, riches, pauvres, célibataires ou mariées. En excellent opportuniste, il prendra la moindre occasion pour la tourner à son propre avantage, utilisant les femmes comme des outils lui permettant d'arriver, se préoccupant peu des moyens employés; il n'hésitera pas à fendre ainsi des coeurs de femmes follement amoureuses de lui. Au processus de son évolution, il devient plus fort et plus sûr de lui, plus adroit dans ses jugements et ses actes. Il deviendra aussi de plus en plus machiavélique, tortueux et égoïste, pour se terminer dans les bras d'une jeune demoiselle très riche.

Charles Forestier : Ancien ami militaire de Duroy, Forestier est présenté au début comme petit rédacteur travaillant au journal de La Vie Française. Dès le début du roman, il stimule le désir de Duroy en lui informant qu'il était aisé d'arriver spécialement grâce aux femmes. Il arrive à obtenir un emploi de reporter à Duroy au sein de son journal, bien que celui-ci n'ait aucune expérience de ce métier. D'abord présenté comme quelqu'un de serein, sûr de lui et de ses prédictions, il va rapidement dévoiler sa fragilité et son anxiété de sa santé qui s’affaiblie graduellement tout au long de la première partie du roman. De plus, on comprend qu’il doit en majeure partie sa profession à sa femme, qui écrit ses articles. Forestier porte en lui ces quiproquos: la force et le doute, l'optimisme et le pessimisme, l'ivresse de la réussite et la peur de la mort.


Madeleine Forestier : Elle est le personnage le plus moderne du roman. Elle est une femme forte qui charme, fascine, séduit, donne sans donner, elle est aussi plus indépendante que les autres femmes de son époque et pleine d'un mystère intelligemment maintenu par le romancier. Mme Forestier était aimée par Duroy au début du livre et détestée à la fin. Elle l'aide pour son premier article, ce qui va le propulser dans le journal.

Clothilde de Marelle : Bohême, jolie, aimable et gaie, elle possède le charme, la fantaisie et le mystère mais avide les seuls plaisirs de la chair et de perversité. Elle sera d'ailleurs tout au long l’œuvre la plus fidèle et la plus respectées des maitresses de Duroy. Elle veut aimer d'une passion forte et profiter de tous les plaisirs que la société permet.

M. Walter : Patron de La Vie Française, journal de puissance politique et d'argent aisément gagné. Pour lui, toutes les circonstances sont bonnes pour faire d’avantageuses affaires. Il est obsédé par l'argent et le profit et peut se montrer plus prétentieux que ses modèles, les directeurs du Gaulois et du Gil Blas.


Virginie Walter : la femme de monsieur Walter qui est très facilement séduite par Duroy malgré sa réputation de femme honnête qu'on ne "chasse" pas; elle devient sa maitresse acharnée, maladroite et fait de lui un chef des Echos.


Suzanne Walter : Adolescente romanesque qui épousera Georges Duroy. La vie bourgeois l'a enfermé dans ses rêveries, dans ses poétiques imaginations qu’elle vie comme d'heureux mensonges.    

Norbert de Varenne : poète qui transmettra son obsession de la mort. Cette obsession refera plusieurs fois surface tout au long du roman. A noter que Maupassant était lui-même animé d'une sorte d’hantise de la mort.

Laurine de Marelle : Aimable et innocente fille de Clothilde de Marelle; elle est aussi séduite par Duroy et le nomme Bel-Ami.


Les thèmes: 


Le réalisme / Le naturalisme: 

Puisque Maupassant représente le monde et les hommes tels qu'ils sontDès la première page, Duroy est décrit avec grande précision : « Grand, bien fait, blond, d’un blond châtain vaguement roussi, avec une moustache retroussée, qui semblait mousser sur sa lèvre, des yeux bleus, clairs, troués d’une pupille toute petite, des cheveux frisés naturellement, séparés par une raie au milieu du crâne ». De plus, l’écrivain s’intéresse à des notions matérielles telles que les nécessités financières ou vestimentaires des personnages, ce qui met en évidence la volonté de s’attacher aux objets concrètes. A ceci s’ajoutent les nombreux portraits et descriptions des lieux de Paris, qui affermissent l’impression de vivre la scène.

Les femmes:

Les femmes ont une très grande importance dans Bel-Ami comme Georges Duroy est arrivé à une ascension sociale à cause d’elles en les manipulant et les séduisant.

Le journalisme / la presse: 

Ayant été lui-même journaliste, Maupassant fait dans Bel Ami une satire de la presse du 19ème siècle : les rouages des grands journaux n’ont certainement pour lui aucun secret. Maupassant aborde donc en espion Bel-Ami, " cette graine de gredin ", dans ce milieu de inconstance, de suffisance et d’oisiveté, car " il lui était plus favorable que tout autre pour montrer les étapes de son personnage ". Ayant tout vu, tout découvert, tout compris, Bel-Ami savait que le journal (la presse) est la première force d’un gouvernement, quel qu’il soit. Cette presse, dans le roman, est La Vie Française.



source: http://pedagogie2.ac-reunion.fr/lyvergerp/francais/bel-ami/Carole-Elodie/schema.gif

L'argent:

Le thème de l'argent est directement lié à Duroy puisque son but est de devenir le plus riche. Il est donc à noter que l'argent suit le cours de l'histoire au coté de Duroy.

Réaction personnelle suite à la lecture:


Puisque je suis un rat de bibliothèque, j’étais très intéressé par le livre au début, mais après avoir lu le premier chapitre j’ai commencé à perdre intérêt à cause de l’emploi de détailles inutile, mais j’ai terminé le livre néanmoins. J’ai beaucoup aimé l’évolution des personnages et plus spécialement celui du personnage personnel Duroy puisque au début j’au cru qu’il était plus ou moins naïf et qu’il n’arrivera pas à devenir riche et atteindre son but. En outre, j’ai adoré l’introduction de thèmes sociaux qui sont encore présent aujourd’hui dans notre société, même si le cadre temporel est le 19eme siècle. En conclusion, je n’ai ni aimer ni détester ce roman.

Thursday 3 October 2013

Analyse d'un Manifeste

                     

source: http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/91/Art_Concret_Manifesto.jpg


Un manifeste est une annonce écrite et publique par laquelle un gouvernement, un individu, un parti ou un courant artistique révèle un programme d'action ou une position. L'Art concret est un mouvement artistique collatéral au mouvement de l'abstraction géométrique.

  • Mise en page: Titre, sous-titre, date, numéro de la page, numéro du document, type du numéro, signature
  • Structure : annonce (nous disons), points (puces) numérotés, signatures (Wantz, Helion, …)
  • Caractéristiques de la langue : registre de langue soutenu / champs lexicaux liés au sujet (l’art visuelle et concret) / phrase simple mais pertinente qui résument le point / emploi du présent de l'indicatif.
  •  Techniques d'accrochement du lecteur: par la mise en page attirante/ utilisation des termes qui démontre la sûreté et l’incitation (doit être, est, …)
  • Public visé : au public général comme c’est une déclaration écrite et publique par laquelle ou un courant artistique expose une position.
  • Objectif : déclarer au public général un programme spécifique (celui de l’art concret)

Saturday 28 September 2013

Analyse d'une Lettre Amicale

  • Mise en page: lieu et date / formule d'appel / formule de clôture / paragraphes / signature
  • Structure : Introduction (le sujet et pourquoi on en parle. Savoir les nouvelles de Sophie) Développement  (ici : demande de visite) / conclusion (ici : formule de clôture)
  • Caractéristiques de la langue : registre de langue familière argotique
  •  / champs lexicaux personnel (je, tu, ta, on, …) / emploi du présent de l’indicatif.
  • Techniques d'accrochement du lecteur: par des appels, des phrases interrogatives, des phrases exclamatives, des suggestions
  • Public visé : Sophie, une des amies de Claire qui s’est déménagée avec sa famille à cause du travail de son père. Il s'agit d'une lettre amicale destinée à une personne spécifique. 
  • Objectif : savoir les nouvelles de Sophie puisqu’elle s’est déménagée avec sa famille.